"La ville de Foça (Fotcha), l'antique ville de Phocée en français et Eskifoça en turc, est une ville côtière se situant au Nord de la province d'Izmir, à l'Ouest de la Turquie.
C'est donc de cette ville que sont partis au vie siècle av. J.-C. ceux qui allaient fonder Marseille (Massilia) que l'on appelle encore aujourd'hui la cité phocéenne." (Wikipédia)
On y est presque à Izmir. On y est presque.
Et puis finalement on s'arrête.
Une grippe attrapée quelques jours plus tôt et le corps réclame un peu plus de repos. Il ne nous laisse pas le choix.
Et pour la première fois, en presque huit mois, on ressent la fatigue. Pas celle de la fin de journée, non, une autre, plus subtile et moins évidente. Une fatigue qui s'est insinuée, infiltrée petit à petit et qui aujourd'hui nous submerge. Alors on finit par céder.
"Et si on s'arrêtait ici?"
Notre retour est prévu pour dans dix jours. C'est donc peut-être le temps des vacances. Il nous paraît nécessaire, mais nous le prenons avec regret car il sonne aussi la fin de la marche. Pour le moment. Pour cette fois. Pour cette première partie, ce premier voyage, et jusqu'au prochain, qu'on aime à imaginer, déjà. Car on ne peut se résigner à penser que celui-ci sera l'ultime. Il nous faut une suite, d'autres pas, et d'autres voies à suivre.
Foça sera la dernière étape de cette première partie donc!
Après quelques recherches, nous apprenons que c'est également l'ancêtre de Marseille, ville d'où nous avions repris la marche six mois plus tôt. Belle coïncidence.
Maintenant, il ne nous reste plus qu'à flâner...
C'est donc de cette ville que sont partis au vie siècle av. J.-C. ceux qui allaient fonder Marseille (Massilia) que l'on appelle encore aujourd'hui la cité phocéenne." (Wikipédia)
On y est presque à Izmir. On y est presque.
Et puis finalement on s'arrête.
Une grippe attrapée quelques jours plus tôt et le corps réclame un peu plus de repos. Il ne nous laisse pas le choix.
Et pour la première fois, en presque huit mois, on ressent la fatigue. Pas celle de la fin de journée, non, une autre, plus subtile et moins évidente. Une fatigue qui s'est insinuée, infiltrée petit à petit et qui aujourd'hui nous submerge. Alors on finit par céder.
"Et si on s'arrêtait ici?"
Notre retour est prévu pour dans dix jours. C'est donc peut-être le temps des vacances. Il nous paraît nécessaire, mais nous le prenons avec regret car il sonne aussi la fin de la marche. Pour le moment. Pour cette fois. Pour cette première partie, ce premier voyage, et jusqu'au prochain, qu'on aime à imaginer, déjà. Car on ne peut se résigner à penser que celui-ci sera l'ultime. Il nous faut une suite, d'autres pas, et d'autres voies à suivre.
Foça sera la dernière étape de cette première partie donc!
Après quelques recherches, nous apprenons que c'est également l'ancêtre de Marseille, ville d'où nous avions repris la marche six mois plus tôt. Belle coïncidence.
Maintenant, il ne nous reste plus qu'à flâner...