Après quelques 200 kilomètres de car, nous avons rejoint Bursa. On ne sait pas vraiment pourquoi, Bursa. A vrai dire juste l'envie de s'éloigner d'Istanbul pour reprendre la marche, sortir de cette énorme agglomération et retrouver les chemins.
Nous avons atteint Istanbul et on a depuis comme un goût de fin dans la bouche. Il ne nous reste plus que 20 jours, et Téhéran fait désormais partie d'un autre voyage.
Alors voilà, la question se pose, qu'allons nous faire de ces 20 jours?
Continuer? Oui, mais vers où? Toutes les options s'offrent à nous. Toutes sont intéressantes. Mais il faut faire un choix.
Nord vers Trabzon? Sud vers Izmir? Centre vers Ankara?
Notre instinct nous chuchote Mer Noire mais on choisira finalement de partir en direction d’Izmir en espérant y trouver des températures plus douces et plus clémentes, et peut-être même le début du printemps.
Arrivés à la gare routière, on cherche un bus pour Iznik, l’ancienne Nicée, qui nous paraissait être un bon point de départ. Mais pas de chance, pas de bus. Enfin... ça à l’air compliqué. Bon. Faut trouver autre chose, et vite. On se regarde et « Bursa » est lancé, un peu comme ça, par hasard, comme le souvenir ressurgi d'un nom de ville lu sur une carte, ou dans un livre, ou je ne sais où.
Et donc Bursa ce sera!
Nous avons atteint Istanbul et on a depuis comme un goût de fin dans la bouche. Il ne nous reste plus que 20 jours, et Téhéran fait désormais partie d'un autre voyage.
Alors voilà, la question se pose, qu'allons nous faire de ces 20 jours?
Continuer? Oui, mais vers où? Toutes les options s'offrent à nous. Toutes sont intéressantes. Mais il faut faire un choix.
Nord vers Trabzon? Sud vers Izmir? Centre vers Ankara?
Notre instinct nous chuchote Mer Noire mais on choisira finalement de partir en direction d’Izmir en espérant y trouver des températures plus douces et plus clémentes, et peut-être même le début du printemps.
Arrivés à la gare routière, on cherche un bus pour Iznik, l’ancienne Nicée, qui nous paraissait être un bon point de départ. Mais pas de chance, pas de bus. Enfin... ça à l’air compliqué. Bon. Faut trouver autre chose, et vite. On se regarde et « Bursa » est lancé, un peu comme ça, par hasard, comme le souvenir ressurgi d'un nom de ville lu sur une carte, ou dans un livre, ou je ne sais où.
Et donc Bursa ce sera!